Vous êtes Cela !
Une unité s'exprimant comme le manifesté et le non-manifesté, deux aspect d'une même réalité. Telle est la pièce dans le théâtre de la conscience. Vous êtes le témoin ultime : joyeux, inaltérable et complet. Vous êtes Cela !
A l’origine, cette conscience n’est pas personnelle, mais elle se sent personnelle, car elle a l’impression d’être cette forme particulière. C’est comme l’électricité : dans une lampe, elle produit de la lumière, dans un frigo, du froid, etc. mais l’électricité n’est rien de tout cela. En agissant à travers certains appareils, elle apparaît sous forme de froid, de lumière, ou de quoi que ce soit d’autre, mais on ne peut pas la décrire comme étant froide ou lumineuse. En tant que conscience, ou aperception, tu ne fais que percevoir. Mais quand l’impression d’être le corps devient très forte, l’expérience semble avoir un grand impact sur la conscience qui s’exprime à travers les différents corps qu’on appelle « les gens ». Son intensité varie selon le degré de croyance à l’identification « je suis cette forme-là ».
Peu à peu, cette identification rencontre beaucoup de stress dans ce qu’on appelle « la vie », parce que, s’étant identifiée à un certain corps, la conscience se met à chercher comment maintenir la vie dans cette forme particulière, en se prenant pour elle. Elle considère toute menace ou tout dommage infligé à cette forme, ou sa disparition comme sa propre disparition. Elle fait l’expérience de la peur, de l’angoisse, de l’agitation, et tout ça parce qu’elle est persuadée d’être cette forme particulière. Et en tant que telle (c’est ce qu’on appelle l’ego), elle se sent distincte de toutes les formes, considérant ce corps-là comme étant son corps, et tous les autres comme différents. C’est ainsi qu’elle entre dans le domaine de l’altérité. De cette manière, la conscience, qui est pure et universelle à l’origine, fait l’expérience d’elle-même comme autonome et séparée. Pendant un certain temps, elle est engagée dans cette séparation, elle en même fière. Mais cela ne peut pas durer ; peu à peu, elle est malmenée par le monde, les circonstances, ses rêves brisés et ses déceptions. Elle perd son arrogance, son orgueil, et elle devient plus souple, plus réceptive aux vérités spirituelles. On n’a pas besoin de savoir comment cela se produit. Tu peux penser que rien ne se passe, mais à un certain moment, ça germe dans ta conscience, en quelque sorte, comme une affinité, une attraction pour un enseignement, ou bien une question qui se pose naturellement en toi. Tu ne décèleras peut-être pas d’où elle provient...
A l’origine, cette conscience n’est pas personnelle, mais elle se sent personnelle, car elle a l’impression d’être cette forme particulière. C’est comme l’électricité : dans une lampe, elle produit de la lumière, dans un frigo, du froid, etc. mais l’électricité n’est rien de tout cela. En agissant à travers certains appareils, elle apparaît sous forme de froid, de lumière, ou de quoi que ce soit d’autre, mais on ne peut pas la décrire comme étant froide ou lumineuse. En tant que conscience, ou aperception, tu ne fais que percevoir. Mais quand l’impression d’être le corps devient très forte, l’expérience semble avoir un grand impact sur la conscience qui s’exprime à travers les différents corps qu’on appelle « les gens ». Son intensité varie selon le degré de croyance à l’identification « je suis cette forme-là ».
Peu à peu, cette identification rencontre beaucoup de stress dans ce qu’on appelle « la vie », parce que, s’étant identifiée à un certain corps, la conscience se met à chercher comment maintenir la vie dans cette forme particulière, en se prenant pour elle. Elle considère toute menace ou tout dommage infligé à cette forme, ou sa disparition comme sa propre disparition. Elle fait l’expérience de la peur, de l’angoisse, de l’agitation, et tout ça parce qu’elle est persuadée d’être cette forme particulière. Et en tant que telle (c’est ce qu’on appelle l’ego), elle se sent distincte de toutes les formes, considérant ce corps-là comme étant son corps, et tous les autres comme différents. C’est ainsi qu’elle entre dans le domaine de l’altérité. De cette manière, la conscience, qui est pure et universelle à l’origine, fait l’expérience d’elle-même comme autonome et séparée. Pendant un certain temps, elle est engagée dans cette séparation, elle en même fière. Mais cela ne peut pas durer ; peu à peu, elle est malmenée par le monde, les circonstances, ses rêves brisés et ses déceptions. Elle perd son arrogance, son orgueil, et elle devient plus souple, plus réceptive aux vérités spirituelles. On n’a pas besoin de savoir comment cela se produit. Tu peux penser que rien ne se passe, mais à un certain moment, ça germe dans ta conscience, en quelque sorte, comme une affinité, une attraction pour un enseignement, ou bien une question qui se pose naturellement en toi. Tu ne décèleras peut-être pas d’où elle provient...
2 commentaires:
BONJOUR!
je viens de voir avec plaisir votre page, et outre nouer contact, je voudrais vous faire savoir que je mets des extraits videos en ligne en dehors du site principal
http://uk.youtube.com/user/Moojiji
dites moi aussi si vous croyez que des films sous titres fr seraient bienvenus
avec fraternite cordiale
de londres,
nataraaj
Bonjour Nataraaj,
Merci pour cette prise de contact et toutes vos appréciations.
Oui, je pense que tous les lecteurs (d' "EVEIL impersonnel" entre autre) seraient très touchés d'avoir quelques extraits d'enseignements de Mooji sous-titrés en Français. Nous ne sommes pas tous très à l'aise dans la langue de Shakespeare. Votre initiative sera donc la bienvenue.
N'hésitez pas à me faire part des nouveautés à chaque fois (sur mon adresse perso " reikido at club.fr ").
Je prendrais le temps d'aller visiter votre blog qui m'a l'air très riche également :-)
À bientôt.
Namasté.
Patrice
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