Durant les onze mois que j’ai passés auprès de Nisargadatta Maharaj, en 1976-77, je lui ai, en général, rendu visite, deux fois par jour, quatre ou cinq fois par semaine. A cette époque, j’habitais dans une petite chambre d’hôtel, à Bombay. J’ai commencé par prendre des notes, en utilisant ma version personnelle de la sténo et profitant que le discours était encore frais dans ma mémoire, je le retranscrivais plus clairement, quand je retournais dans ma chambre.
Par les graines qu’il a semées, ces inestimables « graines de conscience », j’ai réalisé que j’étais la vérité et que je l’avais toujours été et le serai toujours. La vérité, c’est que rien n’est arrivé – tout n’est jamais que cet Absolu non-duel.
Aussi, bien que je sois ému de partager mes souvenirs avec vous, le lecteur de ces lignes, ce récit des expériences de ma vie est en réalité une histoire, un concept. Cela étant dit, retournons à ces merveilleux événements « changeurs de vie » de la fin des années 1970.
Par les graines qu’il a semées, ces inestimables « graines de conscience », j’ai réalisé que j’étais la vérité et que je l’avais toujours été et le serai toujours. La vérité, c’est que rien n’est arrivé – tout n’est jamais que cet Absolu non-duel.
Aussi, bien que je sois ému de partager mes souvenirs avec vous, le lecteur de ces lignes, ce récit des expériences de ma vie est en réalité une histoire, un concept. Cela étant dit, retournons à ces merveilleux événements « changeurs de vie » de la fin des années 1970.
Question : En bref, quel conseil donneriez-vous à un chercheur ?
Mark West : Eh bien, si un chercheur venait me voir, je lui dirais qu'il est déjà ce qu'il cherche, et que, de ce fait, la recherche elle-même constitue un problème. S'il pense, que dans le futur, il obtiendra ce qu'il cherche, et que la recherche a lieu à travers le mental ou le «moi», s'il pense que dans le futur, il sera capable de comprendre, il se trompe complètement. Car il n'y a vraiment pas de futur. Tout est, ici et maintenant, omniprésence. La présence est déjà là.
Ce qu'ils recherchent, ils le sont déjà. Je leur dirais d'abandonner la recherche, mais cela pourrait les blesser. En effet, lorsque je suis rentré d'Inde, j'étais très enthousiaste et je l'ai dit aux gens, alors que je n'aurais pas dû.
Ce qu'ils recherchent, ils le sont déjà. Je leur dirais d'abandonner la recherche, mais cela pourrait les blesser. En effet, lorsque je suis rentré d'Inde, j'étais très enthousiaste et je l'ai dit aux gens, alors que je n'aurais pas dû.
Question : Vous ne vous définissez pas comme un missionnaire ?
Mark West : A son retour d'Inde, une personne de ma connaissance est tombée dans ce piège. Maintenant je sais, qu'à moins qu'on ne me questionne directement sur la spiritualité, je n'en parlerai pas de moi-même.
Question : Et la dernière question est : «Qui s'en préoccupe ?»
Mark West : Oui, c'est vrai. Oui. (Rires)
Je peux en rire maintenant - vraiment en rire ! Cette entité qui essaye d'attraper quelque chose, c'est complètement inutile !
Maintenant, c'est en quelque sorte, une vie sans effort. Un sentiment indicible de totale liberté. Il y a aussi un sentiment d'amour universel, ce n'est pas du tout l'amour personnel, c'est quelque chose que j'aimerais tant donner et partager.
J'aimerais le partager avec chacun, mais je me rends compte que cela doit arriver de soi-même.
Il n'y a, ici, personne qui puisse s'attribuer le mérite de quelque chose ni même s'angoisser pour quoi que ce soit.
Mark West : A son retour d'Inde, une personne de ma connaissance est tombée dans ce piège. Maintenant je sais, qu'à moins qu'on ne me questionne directement sur la spiritualité, je n'en parlerai pas de moi-même.
Question : Et la dernière question est : «Qui s'en préoccupe ?»
Mark West : Oui, c'est vrai. Oui. (Rires)
Je peux en rire maintenant - vraiment en rire ! Cette entité qui essaye d'attraper quelque chose, c'est complètement inutile !
Maintenant, c'est en quelque sorte, une vie sans effort. Un sentiment indicible de totale liberté. Il y a aussi un sentiment d'amour universel, ce n'est pas du tout l'amour personnel, c'est quelque chose que j'aimerais tant donner et partager.
J'aimerais le partager avec chacun, mais je me rends compte que cela doit arriver de soi-même.
Il n'y a, ici, personne qui puisse s'attribuer le mérite de quelque chose ni même s'angoisser pour quoi que ce soit.
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