On ne peut pas décider de lâcher-prise, car ce serait encore rester dans le fil d'un vouloir intentionnel, ce serait toujours vouloir atteindre un but, un objet de désir, et donc ce ne serait pas un total lâcher-prise.
On ne peut lâcher-prise que lorsque quelque chose émerge en nous et nous invite à le faire. Il s'agit d'être attentif à ces instants. Lorsqu’ils surviennent, on a mille autre choses plus importantes et plus intéressantes à faire et à penser, et cela demande une grande force d’attention pour écouter et laisser la place à cette petite voix ténue.
Ce n’est pas à proprement parler difficile, mais c’est désagréable. L’ego n’aime pas se lâcher. Mais pour peu qu’on fasse confiance à ce petit quelque chose, qu’on fasse silence pour qu’il puisse grandir, sans qu’on n’ait à faire d’efforts, juste une attention soutenue, on s’aperçoit tout-à-coup qu’on est ce petit quelque chose, qu’on est cette chose vivante qui bouge en soi, que cela est le Soi.
On ne peut lâcher-prise que lorsque quelque chose émerge en nous et nous invite à le faire. Il s'agit d'être attentif à ces instants. Lorsqu’ils surviennent, on a mille autre choses plus importantes et plus intéressantes à faire et à penser, et cela demande une grande force d’attention pour écouter et laisser la place à cette petite voix ténue.
Ce n’est pas à proprement parler difficile, mais c’est désagréable. L’ego n’aime pas se lâcher. Mais pour peu qu’on fasse confiance à ce petit quelque chose, qu’on fasse silence pour qu’il puisse grandir, sans qu’on n’ait à faire d’efforts, juste une attention soutenue, on s’aperçoit tout-à-coup qu’on est ce petit quelque chose, qu’on est cette chose vivante qui bouge en soi, que cela est le Soi.
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