Ni les pensées ni les émotions ni les sensations, ni
les situations, ni les apparitions, rêves ou chimères.
Ce qui est important, c’est ce qui en nous est la
conscience de toutes ces perceptions, et notre
expérience et connaissance directe de celle-ci.
Ce qui est important, c’est cette conscience elle-même !
C’est ce que nous sommes et non ce que nous percevons.
Ce percevant est primordial, absolu ;
le perçu est secondaire et relatif.
C’est la fine pointe de la conscience où tout
apparaît et disparaît.
Et c’est, ultimement, ce qui demeure.
C’est l’amour et la paix réelle.
Vu sur la page FaceBook de Charles Coutarel Sattoji (une mine d'extraits journalière !)